L’inconscient au travail – Dominique Baumgartner

Dans cette formation vous allez apprendre

• La différence entre autonomie et indépendance
• Les effets négatifs du stress
• Les collaborateurs sujets et les collaborateurs objets

Key takeaways

• Intériorité
• Rôle de l’entreprise
• Le pouvoir de la bienveillance

Présentation du cours

L’inconscient, « ce chapitre de notre histoire marqué par un blanc et occupé par un mensonge » nous accompagne au travail. Une psyché de nature très sensible joue sa partie et déjoue avec plus ou moins de bonheur les pièges du stress. Ainsi le fonctionnement des individus et des groupes au travail peut faire l’objet d’une lecture et   d’un décryptage à partir de l’inconscient. Un décryptage qui permet de mieux conjuguer justice et justesse. En explicitant les fondamentaux de la vie psychique, Dominique Baumgartner dévoile ce   qui se joue dans l’entreprise avec l’histoire de chacun. Il s’agit de privilégier « ce qui est, par rapport à ce que nous voudrions qui soit », pour s’ajuster avec intelligence aux situations qui stressent, dérangent, déstabilisent.

À propos de l’auteur

Dominique Baumgartner
Dominique Baumgartner : professionnelle du coaching et analyste jungienne. Sa pratique s’inspire de plusieurs courants philosophiques, psychologiques et spirituels. Elle explore les dynamiques psychiques de chacun et leur impact sur les situations professionnelles rencontrées : un coaching des profondeurs.

Extrait

« L’ajustement ! De quoi est-il question ? Eh bien j’apporte une réponse que j’ai faite il y a dix ans à un grand patron qui me demandait : Dominique, quelle est la qualité psychique qui est requise pour un patron de manière à pouvoir assurer sa pérennité ? Et je lui ai répondu spontanément – et ma réponse est toujours d’actualité – c’est sa capacité à s’ajuster à ce qui est, e – s – t. Donc je vais développer ce sujet parce que s’il y a une aptitude dont nous sommes infirmes aujourd’hui, c’est bien notre capacité à nous ajuster. À ce qui est. Pourquoi sommes-nous infirmes à cet endroit-là ? C’est parce que nous sommes rompus, de par notre éducation, de par les logiques dominantes, à contrôler et à vouloir autre chose que ce qui est. […] »