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S’affirmer sans agressivité (l’assertivité) – Édith Camilli
Dans cette formation vous allez apprendre
Ce qu’est l’assertivité
Comment communiquer de façon assertive
Que faire face aux obstacles : fuite / agression / manipulation
Key takeaways
Attitude d’assertivité
Exprimer ses sentiments
Technique DESC (Décrire les faits, Exprimer ses sentiments, Solutions, Conclure)
Présentation du cours
« On ne dit pas “c’est pas bon”, on dit “je n’aime pas”. » Premier piège relationnel : ne pas distinguer les sentiments des opinions. L’assertivité qui consiste en une juste affirmation de soi entre la passivité – non affirmation – et l’agressivité – affirmation qui manque son objectif – n’est pas une attitude innée ni facile à tenir. Elle suppose de prendre conscience des différents pièges où l’émotion, et la peur de l’autre nous entraînent à faire un double tonneau dans le virage de la relation. Un double tonneau qui finit au mieux par des bosses à l’âme.
Édith Camilli, lestée de son bienveillant sourire, nous montre l’indispensable entrée du chemin de relations apaisées et fécondes avec les autres. Ces autres qui pataugent frénétiquement dans leur obstination à se montrer autres.
Et comme dirait quelqu’un de bien connu, soyez vous mêmes, les autres sont déjà pris !
À propos de l’auteur
Édith Camilli
Édith Camilli est psychologue du travail et coach certifiée. Elle exerce depuis plus de vingt ans dans le conseil en ressources humaines et la formation. Sa pratique du coaching porte sur l’amélioration des relations par une application pertinente de l’assertivité.
Extrait :
« L’attitude de fuite, on l’a vu, a des origines multiples. Ce qui est important aussi de comprendre dans l’attitude de fuite, c’est qu’il y a une première problématique que l’on appelle une problématique de limite. Finalement, où est-ce que je mets ma limite face à l’autre ? Quand quelqu’un me demande quelque chose, par exemple, je n’ai pas forcément envie et je vais dire oui finalement. Qu’est-ce qui est acceptable et qu’est-ce qui est inacceptable ? Très souvent, vous n’avez aucune idée de cette fameuse limite. Or l’autre, quand il ne connaît pas la limite, va la tester. C’est très naturel. […] »