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Conduire un entretien annuel d’évaluation – Bernard Jaubert
Dans cette formation vous allez apprendre
Qu’évaluer, c’est accorder de la valeur à quelque-chose
Quelles sont les responsabilités du manager
Les objectifs de l’entretien d’évaluation
Key takeaways
Le seul fait d’écouter est en soi un levier de changement
L’écoute ne signifie pas (uniquement) le silence
Limites du management par objectif
Présentation du cours
L’entretien d’évaluation devient souvent pour les deux protagonistes le sommet annuel de l’angoisse. C’est qu’il est malvenu de juger, or évaluer n’est-ce pas juger ? Bernard Jaubert montre qu’il est possible de dépasser sans drame le tabou du jugement si l’on conduit l’entretien avec esprit de finesse plutôt qu’esprit de géométrie. Car cet entretien à risque comporte des pièges à déjouer.
Un guide simple, clair, pratique, applicable.
À propos de l’auteur
Bernard Jaubert
Fondateur du cabinet DMJ Consultants. Économiste et sociologue de formation, c’est plus de vingt années d’études et de conseil en management, en France et à l’international, auprès de grandes et de moyennes entreprises. DRH en temps partagé (Delta Plus Group). Livre : Pourquoi c’est si dur de changer ? (Dunod, 2007).
Extrait :
« Alors au-delà du fond, des objectifs, à un moment donné, il faut bien se rencontrer, il faut bien se parler. Et c’est là que les choses deviennent parfois difficiles pour beaucoup de managers qui n’aiment pas ça. Enfin ils n’aiment pas avoir à dire les choses. Alors ça me fait penser à l’attitude d’un ancien président – Mitterrand pour ne pas le nommer – qui était filmé à son petit-déjeuner par une journaliste dont j’ai oublié le nom. Et à ce moment-là il avait comme premier ministre Laurent Fabius. Et Mitterrand d’expliquer à Laurent Fabius qu’il avait eu un problème de préséance avec tel et général. Un problème de protocole. Enfin un truc assez compliqué où des plaintes étaient remontées jusqu’au président. Mitterrand se retourne vers son premier ministre et lui dit : « Vous réglerez ça. » Et la messe était dite. C’est-à-dire que le problème ne se discutait pas. Mais on voit bien qu’à un moment donné, il se passait quelque chose qui est de l’ordre de la rencontre. Voilà. […] »